Dans un contexte d’augmentation du temps d’écoute, des sources d’exposition mais aussi des volumes sonores, nos oreilles sont de plus en plus exposées et les risques d’endommager notre audition plus fréquents. Qu’un son soit agréable ou déplaisant, plus le niveau est élevé et la durée d’exposition longue, plus le risque est important. La gravité de la fatigue auditive dépend également de la fréquence du bruit entendu. Si l’on dépasse la dose de son tolérable, notre système auditif risque une usure prématurée, qui constituera à terme un véritable handicap. Le risque auditif est donc réel bien avant l’apparition d’une douleur. Conclusion : c’est à chacun, en fonction de ses pratiques, d’adapter son comportement afin de limiter les risques. En adoptant les bons réflexes, il est possible de profiter du plaisir d’écoute de la musique tout en préservant son capital auditif. Pour commander la plaquette en quantité, contacter Véronique Offredi (seuls les frais de port seront facturés). « Encore plus fort » - ministère de la Santé de la Jeunesse et des Sports / CIDB - 4 pages
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