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Echo Bruit
n° 122
09.2008
g
Dossier :
“Surveillance acoustique”
1
ère
partie
44
le magazine de l’environnement sonore
• Les balises « long terme »,
installées principalement en
amont d’aménagements urbains :
- aménagement de voirie,
- transports en site propre,
- activités permanentes (commerciales, culturelles…),
- opérations d’urbanisme…
• Les balises « court terme »,
plus réactives, liées à de
l’événementiel, et utilisées, par exemple, pour la surveillance de :
- chantiers,
- lieux de loisirs,
- test expérimentation (zone «30», …).
Trois critères « non acoustiques » vont déterminer la mise en
œuvre d’un réseau de mesure acoustique :
• Les budgets et les moyens humains,
• La notion d’étendue et de diversité de territoires,
• L’opportunité d’utiliser les réseaux existants (qualité de
l’air, trafic, feux de signalisation…). Ils peuvent permettre de
supporter et de limiter les coûts des infrastructures.
Pour une agglomération et selon les enjeux, il faudra ainsi
envisager de mettre en place entre 15 et 50 stations afin de
répondre aux objectifs d’un observatoire permanent du bruit.
n
Méthode de définition du
nombre et du type de points
de mesure
1- Principe de réalité :
• croisée des différentes typologiques,
• accès aux données complémentaires,
• réseaux existants,
• urbanisme du tissu urbain.
2- Zone de réception :
• sensible (école, hôpital…),
• habitat (collectif ou pavillonnaire),
• calme, patrimoniale et historique,
• emblématique (places, touristique…)
• zone acoustiquement saturée,
• avant et après grand projet.
3- Source :
• trafic de desserte, pénétrante, axe fort…,
• industrielle ou activité…
• multi-exposition,
• chantier, animation…