Version HTML de base
n° 131
12.2010
g
Écho des villes
le magazine de l’environnement sonore
Echo Bruit
calcul de notre indice afin de prendre
en compte ces nouveaux besoins et
nous couvrons désormais un nombre
plus représentatif des villes suscitant
l’intérêt de nos clients ».
Classement général tous critères
confondus
Les villes européennes dominent
une fois de plus le top 25 des villes
couvertes par l’indice. Paris se place en
34
e
position et Lyon est 38
e
.
Aux États-Unis, c’est Honolulu qui
détient la première entrée dans le
classement à la 31
e
place, talonnée par
San Francisco (32
e
place). Singapour
(28
e
) est la ville asiatique la mieux
classée, suivie par Tokyo à la 40
e
place.
Bagdad, classée 221
e
, demeure en
dernière position.
Classement spécifique « villes
écologiques »
Le classement 2010 s’est également
attaché à identifier les villes les
plus écologiques sur la base de
la disponibilité de l’eau et de sa
potabil ité, de l ’él imination des
déchets, de la qualité des systèmes
de traitement des eaux usées, de la
pollution de l’air et de l’encombrement
de la circulation. C’est Calgary qui
arrive en tête des villes les plus
écologiques avec 145,7 points, suivie
par Honolulu en deuxième position
avec 145,1 points puis par Ottawa et
Helsinki ex-æquo en troisième position
avec 139,9 points. Wellington en
Nouvelle-Zélande (5
e
), Minneapolis (6
e
),
Adélaïde (7
e
) et Copenhague viennent
compléter le top 8 des villes les plus
écologiques, tandis que Kobe, Oslo et
Stockholm se partagent la neuvième
place de ce classement. Port-au-Prince
en Haïti arrive en dernière position de
ce classement avec un score d’à peine
27,8 points.
Slagin Parakatil commente : « Une
ville écologique bien notée dans
le classement signifie qu’elle a su
démontrer son aptitude à optimiser
le recours à des sources d’énergie
renouvelables en générant le moins de
pollution possible (air, eau, bruit, etc.).
Une ville considérée comme écologique
ou impliquée dans le développement
durable peut avoi r un impact
considérable sur la qualité de vie de
ses habitants. Par conséquent, ce type
de considérations présente également
un intérêt pour les entreprises qui
affectent à long terme leurs employés
et leur famille à l’étranger, eu égard
notamment à la grande majorité
d’expatriés installés dans des zones
urbaines. »
« Un certain niveau de développement
durable est indispensable aux
conditions de vie en zones urbaines
et fait partie intégrante de la qualité
de vie de leurs habitants. Si certaines
villes peuvent se prévaloir d’un certain
niveau de vie, un manque de prise en
compte des aspects de développement
durable y est d’autant plus visible et
peut contribuer à l’augmentation des
indemnités compensatrices de qualité
de vie », remarque Slagin Parakatil.
Dans le classement spécifique des
villes écologiques, la ville de Paris est
classée 67
e
et Lyon 32
e
.
Le rapport complet est vendu 300 euros
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